Voyage – Troisième Partie

La nuit était calme en ce soir de novembre 2008. Pierre dormait comme un loir. Une envie pressante fit que je me réveillais vers les deux heures du matin. Les toilettes de l’étage n’étaient pas accessibles car pour y accéder, il fallait passer par la chambre de Pierre et Véronique.

Je décidais donc de me rendre aux toilettes du rez-de-chaussée. Je marchais sur la pointe des pieds pour ne pas faire de bruit surtout dans les escaliers. Arrivée en bas, je vis de la lumière dans la cuisine. Je m’approchais doucement, regardais dans l’entrebâillement de la porte. Mon âme curieuse fit de moi la plus surprise de la soirée car je vis Véronique, mon amie du moment, agenouillée devant Pierre à le sucer vaillamment.
Je regardais la scène avec stupeur. Ce fut la première fois que j’observais, en vrai, une femme sucer la queue de son mari.

Pierre se tenait le dos appuyé au plan de travail. Il était plutôt bien membré, n’ayant que pour seul vêtement un caleçon qui lui tombait aux pieds. Véronique le suçait avec entrain. Je la regardai faire. Ce fut un spectacle impressionnant, presque invraisemblable. Mon envie d’uriner pressait toujours mais il fallait que je regarde un peu.

J’ai dû faire du bruit car soudain, je vis le regard de Véronique se poser sur moi. Je la voyais de profil si bien qu’elle a dû tourner la tête pour me voir. Pierre me regardait aussi. Mon sang ne fit qu’un tour. J’étais surprise à mater le couple qui nous hébergeait pour la nuit. Véronique me regarda, le sexe de son mari encore en bouche. Elle me regarda mais continuait à sucer Pierre. Elle me fit un signe « coucou » de la main. D’un geste, Pierre m’invita à m’approcher. Je ne sais pas ce qui m’a pris ce jour là, mais je me suis approchée. A cet instant, Véronique arrêta sa fellation, et me tendit la verge de Pierre. Je me suis accroupie à côté d’elle. Elle avait disposé une serviette au sol pour ne pas se blesser les genoux.

- Tiens ! Me dit –elle, en me tendant le sexe de son mari.

Je me suis apprêtée à sucer Pierre, regardant Véro un court moment pour savoir si je faisais bien. Pierre gémissait et s’accrochait au plan de travail auquel il faisait dos :

-Humm, c’est bon. Fit-il.

Je le suçais alors de plus belle, essayant même d’avaler tout son sexe. Véro m’encouragea en m’appuyant sur la nuque. C’était divin. Je prenais plaisir à le sucer.

Nous avons alterné, Véro et moi, nos coups de langue sur le sexe de Pierre qui s’est fini en se branlant devant nous. J’ai reçu quelques gouttes de son sperme sur le visage que j’ai vite nettoyées en allant aux toilettes. En partant, il me fit un clin d’œil et Véro m’embrassa sur les lèvres. Aux toilettes, je n’ai pas tiré la chasse d’eau pour ne pas réveiller Pierre. Je suis remontée silencieusement dans la chambre. Pierre dormait toujours. Je me suis installée près de lui et me suis rendormie jusqu’au petit matin.

Je venais de vivre ma première histoire avec une autre femme.